Le musée de la Romanité
Ville de Nîmes
«Le musée de la Romanité, vaste bâtiment contemporain pour 2.800 ans d’histoire.»
Inauguré en juin 2018, le musée de la Romanité est l’un des points forts de la muséographie française. Situé face aux arènes de Nîmes, ce musée archéologique présente les collections de la ville, qui s’animent grâce à 65 dispositifs multimédia parmi lesquels de la réalité augmentée. Conçu par Elisabeth de Portzamparc, ce bâtiment contemporain évoque une toge de verre plissée dont les lames évoquent une mosaïque.
Inauguré en juin 2018, le musée de la Romanité est l’un des points forts de la muséographie française. Situé face aux arènes de Nîmes, ce musée archéologique présente les collections de la ville, qui s’animent grâce à 65 dispositifs multimédia parmi lesquels de la réalité augmentée. Conçu par Elisabeth de Portzamparc, ce bâtiment contemporain évoque une toge de verre plissée dont les lames évoquent une mosaïque.
Il abrite les collections du musée, mais aussi un restaurant, un jardin méditerranéen et un toit-terrasse offrant une vue exceptionnelle à 360° sur Nîmes et sa région.
La décision de construire ce musée de la Romanité, prise par le maire Jean-Paul Fournier, a été précipitée par la découverte en 2006-2007 d’une maison romaine et deux mosaïques nommée Achille et Penthée lors de fouilles archéologiques préventives sur les allées Jaurès avant travaux. Ces pièces sont qualifiées de « plus belles pièces après celles de Pompéi ».
Le spectaculaire vestige d’un fronton de propylée, entièrement reconstitué et restauré, placé à 15 mètres du sol, symbolise l’entrée du sanctuaire de la source qui donna naissance à la ville.
Le musée, d’une surface de 9.200 m2, est divisé en trois sections : période pré-romaine (du VIIe siècle au Ier siècle avant J-C ) ; période romaine (du Ier siècle au IIIe siècle après J-C) ; période médiévale (du IIIe siècle après J-C au XVe siècle). Pour chaque époque sont présentés des objets, références urbanistiques et reconstitution de la vie civile.
Outre les mosaïques découvertes sous les allées Jaurès, pièces maîtresses du musée, sont exposées quelque 5.000 œuvres sur les 25.000 pièces que détient l’établissement..
La décision de construire ce musée de la Romanité, prise par le maire Jean-Paul Fournier, a été précipitée par la découverte en 2006-2007 d’une maison romaine et deux mosaïques nommée Achille et Penthée lors de fouilles archéologiques préventives sur les allées Jaurès avant travaux. Ces pièces sont qualifiées de « plus belles pièces après celles de Pompéi ».
Le spectaculaire vestige d’un fronton de propylée, entièrement reconstitué et restauré, placé à 15 mètres du sol, symbolise l’entrée du sanctuaire de la source qui donna naissance à la ville.
Le musée, d’une surface de 9.200 m2, est divisé en trois sections : période pré-romaine (du VIIe siècle au Ier siècle avant J-C ) ; période romaine (du Ier siècle au IIIe siècle après J-C) ; période médiévale (du IIIe siècle après J-C au XVe siècle). Pour chaque époque sont présentés des objets, références urbanistiques et reconstitution de la vie civile.
Outre les mosaïques découvertes sous les allées Jaurès, pièces maîtresses du musée, sont exposées quelque 5.000 œuvres sur les 25.000 pièces que détient l’établissement..
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