Musée d'Histoire Naturelle de Nîmes
Ville de Nîmes
«Le Muséum d’histoire naturelle, un riche savoir accumulé depuis le XVIIIe siècle.»
Le Muséum d’Histoire naturelle de Nîmes est le sixième au rang national pour la richesse de ses collections. Le beau bâtiment qui l’abrite depuis 1895, année de sa fondation, comporte un cloître et une chapelle classée du XVIIe siècle. Il couvre l’ensemble des sciences de l’homme et de la nature répartis en quatre sections : la préhistoire, la géologie du Sud de la France, l’ethnographie et la zoologie. D’autres thématiques devraient être présentées à l’issue d’une rénovation de cette institution.
Le Muséum d’Histoire naturelle de Nîmes est le sixième au rang national pour la richesse de ses collections. Le beau bâtiment qui l’abrite depuis 1895, année de sa fondation, comporte un cloître et une chapelle classée du XVIIe siècle. Il couvre l’ensemble des sciences de l’homme et de la nature répartis en quatre sections : la préhistoire, la géologie du Sud de la France, l’ethnographie et la zoologie. D’autres thématiques devraient être présentées à l’issue d’une rénovation de cette institution.
De plus, il regroupe trois entités muséales : le Muséum d’histoire naturelle proprement dit, un planétarium et « l’Ecole de l’ADN ».
Les voyages et travaux au XVIIIe siècle du savant nîmois Jean-François Séguier, botaniste et épigraphiste (1703-1784), qui revint à Nîmes en 1770, forment l’amorce des collections du muséum. Séguier avait réalisé plusieurs périples à travers l’Europe, notamment en Italie.
Les collections du muséum sont complétées par celles d’autres savants nîmois tels que le paléontologue et géologue Emilien Dumas (1804-1870) ou le naturaliste spécialiste des oiseaux et de la faune Jean Crespon (1797-1857). Les objets d’ethnologie, rapportés entre la fin du XIXe siècle et les années 1930, couvrent l’Afrique, l’Océanie et l’Asie. Seuls ceux issus des deux premiers continents sont exposés.
Les collections issues des voyages et travaux de ces savants et explorateurs avaient été regroupées à partir de 15871 par la Société d’étude des sciences naturelles de Nîmes et du Gard. Elles continuent d’être nourries par de nouveaux apports, permettant au muséum de conserver, outre les éléments d’ethnologie, des milliers de pièces de préhistoire locale, de zoologie (insectes, oiseaux, mammifères, reptiles, mollusques…), de géologie régionale (fossiles et minéraux), de botanique (herbiers, collections de bois, de produits pharmaceutiques… Une bibliothèque comporte de nombreux ouvrages anciens ou récents.
Les salles de zoologie et de préhistoire ont été rénovées ; celle de zoologie présente les animaux de la salle selon la phylogénie, l’étude des liens de parenté entre les êtres vivants ceux qui ont disparu. Une exposition temporaire est offerte chaque année dans une galerie voisine du muséum. L’établissement participe à de nombreux événements culturels et scientifiques, tels que la Journée du patrimoine, la Fête de la science, les Journées de l’archéologie. .
Les voyages et travaux au XVIIIe siècle du savant nîmois Jean-François Séguier, botaniste et épigraphiste (1703-1784), qui revint à Nîmes en 1770, forment l’amorce des collections du muséum. Séguier avait réalisé plusieurs périples à travers l’Europe, notamment en Italie.
Les collections du muséum sont complétées par celles d’autres savants nîmois tels que le paléontologue et géologue Emilien Dumas (1804-1870) ou le naturaliste spécialiste des oiseaux et de la faune Jean Crespon (1797-1857). Les objets d’ethnologie, rapportés entre la fin du XIXe siècle et les années 1930, couvrent l’Afrique, l’Océanie et l’Asie. Seuls ceux issus des deux premiers continents sont exposés.
Les collections issues des voyages et travaux de ces savants et explorateurs avaient été regroupées à partir de 15871 par la Société d’étude des sciences naturelles de Nîmes et du Gard. Elles continuent d’être nourries par de nouveaux apports, permettant au muséum de conserver, outre les éléments d’ethnologie, des milliers de pièces de préhistoire locale, de zoologie (insectes, oiseaux, mammifères, reptiles, mollusques…), de géologie régionale (fossiles et minéraux), de botanique (herbiers, collections de bois, de produits pharmaceutiques… Une bibliothèque comporte de nombreux ouvrages anciens ou récents.
Les salles de zoologie et de préhistoire ont été rénovées ; celle de zoologie présente les animaux de la salle selon la phylogénie, l’étude des liens de parenté entre les êtres vivants ceux qui ont disparu. Une exposition temporaire est offerte chaque année dans une galerie voisine du muséum. L’établissement participe à de nombreux événements culturels et scientifiques, tels que la Journée du patrimoine, la Fête de la science, les Journées de l’archéologie. .
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